Madame Chouffe, du sol au plafond
Depuis 15 ans, Monique Carrein d’Hansbeke-Nevele collectionne absolument tout ce qui se rapporte aux bières de la Vallée des Fées. Rencontre avec celle que l’on surnomme « Madame CHOUFFE ».
Comment avez-vous découvert la Brasserie d’Achouffe ?
Il y a trente ans, je me suis rendue pour la première dans les Ardennes avec mon mari Éric. Alors que nous nous promenions dans la région, nous y avons découvert une « micro-brasserie » à Achouffe. À l’époque, appeler cet endroit une brasserie aurait été excessif : il s’agissait plutôt d’une ferme où l’on essayait de brasser de la bière ! Nous le savons aujourd’hui, la brasserie rencontrera plus tard un grand succès. Depuis, nous sommes revenus chaque année à Achouffe. Nous y avons construit un groupe d’amis, qui s’agrandit toujours un peu plus. Et nous ne manquerions pour rien au monde la Grande CHOUFFERIE organisée au mois d’août.
Comment cette impressionnante collection CHOUFFE est-elle née ?
Cette « fièvre » pour CHOUFFE a commencé il y a une quinzaine d’années, quand j’ai arrêté de travailler et que j’ai cherché une nouvelle occupation. Aujourd’hui, c’est une pièce entière de ma maison qui est dédiée à cette collection : étiquettes, sous-verres, verres, bouteilles, ouvre-bouteilles, plaques émaillées, pancartes, bannières, chapeaux, casquettes, ballons, chemises, cravates, t-shirts, montres, parapluies, petites ou grandes statues de lutins. Tous ces objets ont été reçus, échangés ou achetés au fil du temps dans la boutique CHOUFFE ou dans des brocantes.
Et votre mari, qu’en pense-t-il ?
Il est lui aussi un adepte de CHOUFFE. Depuis le début du programme CHOUFFELEIR en 2012, notre passion s’est encore accrue. Lors de nos excursions à travers la Belgique, nous n’hésitons pas à faire un petit détour pour nous désaltérer dans un café ambassadeur. Je suis aussi très heureuse que notre fils Steve et nos petits-enfants partagent cette même envie de collectionner les objets CHOUFFE.
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